Concert at the Cathédrale de Genève

Music » Symphonic » Concert de la resilience

Concert at the Cathédrale de Genève

Date: 24 April 2024
Time: 19:15 - 21:00

Location: Cathédrale de Genève

Presented by: L'Union Générale Arménienne de Bienfaisance (UGAB) Suisse

SHOUJOUNIAN - SINFONIETTA FOR STRINGS No. 1

Petros Shoujounian’ s Sinfonietta for Strings No. 1 draws inspiration from Armenian spiritual music, particularly incorporating melodic sources from the realm of Armenian sacred traditions. Here are brief descriptions of the melodic origins for each movement:

Moderato - ‘ISK I HÉGHMANÉ’ (trans. ‘Through Your Sacrifice’):This movement is inspired by the words of Nerses Shnorhali from the 12th century. The hymn is dedicated to the Armenian spiritual leaders of the 5th century who became martyrs during and after the Battle of Vardanants. The melody, composed by an unknown musician in the late Middle Ages, reflects the solemnity and sacrifice of these spiritual figures.

Adagio - ‘I GÉRÉZMAN HARUTZÉLAYUN’ (trans. ‘In the Tomb of the Resurrected’): The second movement takes its inspiration from a melody dating to the late Middle Ages, with an anonymous composer. The text speaks of Christ’s resurrection, emphasizing the holy and radiant nature of the event. This movement likely conveys a contemplative and introspective atmosphere, reflecting the profound significance of Christ’s resurrection.

Allegro - ‘GOHAR VARDN’ (trans. ‘The Jewel-like Rose’): The third movement is based on the words and music of Gregory of Narek from the 10th century. This melody is dedicated to the Transfiguration of Christ, an event revealing His divine identity. In medieval religious symbolism, the “rose” is used as a metaphor for the revelation of Christ’s divinity. The Allegro tempo suggests a lively and festive mood, capturing the joy and divine revelation associated with the Transfiguration.

Thus, Petros Shoujounian’ s Sinfonietta interweaves these ancient Armenian spiritual melodies, reviving them through the expressive power of a string orchestra. The composer masterfully combines the rich history of Armenian sacred music with contemporary classical composition, creating a work that pays homage to Armenia’s cultural and religious heritage.

SHOUJOUNIAN - SINFONIETTA POUR CORDES N°1

La Sinfonietta pour cordes n°1 de Petros Shoujounian est inspirée de la musique spirituelle arménienne, intégrant des sources mélodiques provenant du monde de la musique liturgique arménienne. Voici des descriptions brèves des sources mélodiques pour chaque mouvement :

Moderato – ‘ISK I HÉGHMANÉ’ (traduit : ‘Par ton Sacrifice’) Ce mouvement est inspiré par les paroles de Nerses Shenorhali du XIIe siècle. L’hymne est dédié aux chefs spirituels du Ve siècle qui sont devenus des martyrs pendant et après la bataille de Vardanants. La mélodie, composée par un musicien inconnu à la fin du Moyen Âge, reflète la solennité et le sacrifice de ces chefs spirituels.

AAdagio – ‘I GÉRÉZMAN HARUTZÉLAYUN’ (traduit : ‘Dans le Tombeau du Ressuscité’) Le deuxième mouvement est inspiré d’une mélodie du Moyen Âge tardif, dont le compositeur demeure inconnu. Le texte parle de la résurrection du Christ, soulignant la nature sainte et radieuse de cet événement. Ce mouvement porte probablement une atmosphère contemplative et introspective, reflétant la profonde signification de la résurrection du Christ.

Allegro – ‘GOHAR VARDN’ (traduit : ‘La Rose Comme un Bijou’) Le troisième mouvement est basé sur les paroles et la musique de Grigor de Narek du Xe siècle. Cette mélodie est dédiée à la Transfiguration du Christ, un événement qui révèle l’identité divine du Christ. Dans la symbolique religieuse médiévale, la "rose" est une métaphore de la révélation de la divinité du Christ. Le tempo Allegro suggère une humeur vivante et festive, capturant la joie et la révélation divine associées à la Transfiguration.

Ainsi, la Sinfonietta de Shoujounian tisse ces anciennes mélodies spirituelles arméniennes, leur donnant vie à travers la puissance expressive d’un orchestre à cordes. Le compositeur mêle habilement la riche histoire de la musique sacrée arménienne avec la composition classique contemporaine, créant une œuvre qui rend hommage à l’héritage culturel et religieux de l’Arménie.